Le Portugal, c’est fini : à la retraite, les Français se tournent désormais vers cette autre destination européenne plus alléchante que la France

Choisir la bonne ville assure un quotidien fluide, un budget lisible et des liens familiaux préservés

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Dès que le cadre fiscal a changé, les cartes ont bougé et les priorités ont suivi une logique simple : qualité de vie, sécurité, accès aux soins et liens faciles avec les proches. Dans cet esprit, beaucoup regardent une destination européenne très proche où le soleil, la lumière et des coûts maîtrisés s’additionnent. Le Portugal s’efface sans drame ; l’envie se recentre sur le confort concret. Les villes à taille humaine, les services de proximité et un horizon clair pour le budget rassurent, car la retraite aime la stabilité autant que la douceur.

Pourquoi cette destination européenne attire après la fin du RNH

La réforme de 2024 a clos le régime RNH au Portugal, et l’arbitrage s’est déplacé, selon grazia.fr. Le regard file vers l’Espagne méditerranéenne, avec environ 300 jours de soleil, un rythme doux et des villes accessibles. Le climat aide, mais l’essentiel tient au quotidien : marche aisée, services proches, habitudes simples.

Sur la Costa del Sol, de Málaga à Gibraltar, chaque déplacement reste direct, sans effort inutile. Marbella, Torremolinos et Benalmádena proposent des trottoirs plats, des commerces proches et une ambiance internationale. Chacun compose sa routine, car l’offre locale facilite les démarches et retire du stress.

La Costa Blanca aligne d’autres atouts, avec Alicante, Playa San Juan et El Campello. Le tramway structure la ville, tandis que le front de mer reste vivant, mais gérable. Les quartiers récents offrent confort et calme. Cette bascule stratégique ne mise pas sur l’exceptionnel ; elle cherche le durable, le prévisible, le mesuré.

Fonctionnement du quotidien : logement, santé, mobilités claires

Le quotidien décide tout : marcher vers les pharmacies, régler une démarche, prendre un bus direct vers l’hôpital. Les chaînes de services tiennent, et l’on trouve une place pour chaque besoin. Ici, la gestion de la retraite s’allège, car la ville réduit les frictions.

Le système de santé, parmi les meilleurs d’Europe, rassure par sa disponibilité. Les centres médicaux sont répartis, les délais restent raisonnables, et l’accès aux spécialistes ne ressemble pas à un parcours du combattant. Cette fluidité vaut de l’or lorsque la santé structure les choix.

La mobilité suit la même logique, avec tramway, bus et liaisons interurbaines fréquentes. On atteint plages et hôpitaux sans voiture, ce qui allège le budget et les contraintes. Les courts déplacements maintiennent les repères et renforcent la sérénité dans cette destination européenne.

Budget et immobilier : repères simples et montants lisibles

Le budget reste la clé : un couple vit confortablement avec 2 000 à 2 200 €/mois en ville. Hors centre, 1 500 à 2 000 €/mois suffisent. À Alicante, un T4 de 70 m² se loue 800 à 1 000 €/mois. Les courses tournent autour de 250 à 350 €. Rien d’opaque ; tout se suit.

Côté pierre, les repères aident à décider : environ 2 000 €/m² à Alicante, jusqu’à 3 500 €/m² à Marbella. Les résidences récentes ajoutent ascenseurs, parkings et calme, avec commerces et marchés accessibles à pied. Le budget gagne en précision, car chaque dépense se prévoit.

Cette visibilité nourrit la confiance et permet de planifier sans stress. Le filet de sécurité s’épaissit ; la destination européenne s’inscrit alors dans un horizon maîtrisé. La sérénité financière devient la norme, pas le luxe.

Fiscalité, services et lien facile avec la France

La convention fiscale franco-espagnole évite la double imposition : une pension française est taxée une seule fois. Le barème progressif démarre à 19 %. Les déductions locales allègent l’impôt effectif. L’IBI et les charges de copropriété restent inférieurs à la moyenne française.

Autre avantage : pas de CSG-CRDS sur les pensions versées à l’étranger. Le cadre fiscal reste lisible et stable, ce qui facilite les décisions de long terme. On n’achète pas seulement un logement ; on sécurise un cadre et une perspective sereine.

Les liens familiaux demeurent centraux. Depuis Málaga, Alicante ou Palma, des vols d’environ deux heures permettent d’aller-retour souples. L’éloignement n’efface pas l’ancrage, il le redessine. Le soleil et la mer se combinent avec des retrouvailles fréquentes et simples.

Choisir sa ville et réussir l’ancrage dans sa destination européenne

Marbella, Torremolinos, Benalmádena : ambiance internationale, commodités proches, front de mer vivant. Alicante, Playa San Juan, El Campello : mix ville-mer, tramway pratique, quartiers modernes. Chaque choix précise un style de vie adapté au rythme de chacun.

Les résidences récentes offrent ascenseurs, parkings et calme, ce qui compte au quotidien. Les commerces et marchés sont accessibles à pied, les pharmacies proches, et l’on suit ses rendez-vous. La vie se simplifie, le stress recule.

La communauté française aide l’intégration, via la Casa de Francia, des clubs et des réseaux. Les groupes d’entraide partagent bons plans et repères administratifs. On se sent accueilli sans perdre son autonomie. La destination européenne cesse d’être une idée, elle devient une adresse.

Pour refermer la boucle entre stabilité, climat et cap financier durable

La retraite se décide avec des preuves de climat généreux, soins abordables, barème clair, charges prévisibles et vols courts vers la famille. Ce faisceau d’éléments construit une trajectoire paisible. Au-delà d’un effet de mode, la destination européenne répond à une logique : vivre mieux, longtemps, et sans stress inutile.

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